Fermez les yeux : imaginez plantes, fleurs, fruits, cris d’oiseaux, dans une atmosphère tropicale où croissent cocotiers et frangipaniers. Et si l’on vous disait que ce lieu était accessible en plein cœur de Paris, à quelques stations de métro ?
Ils sont loin, les palmiers de juillet. Nez en l’air dans le bois de Boulogne, les pins parasols nous rappellent vaguement les dernières vacances. Yeux dans le vague, vous vous surprenez à plonger dans une forme d’étrange mélancolie… Mais stop ! Pourquoi faudrait-il bouder l’hiver pour ne ressortir ses talons qu’en avril ?